Mgr Viganò : l’imposture de l’élection de Biden, marionnette du Nouvel Ordre mondial
13 novembre 2020 02:55, par MivilleSi Trump réussit par les recomptages à obtenir justice en sa faveur et à remporter le deuxième mandat, Dieu soit loué pour lui, et croisons-nous les doigts, car non seulement la bataille est difficile mais bien des adversaires lui en voudront à mort et pourront mettre leur voeu à exécution. L’important dans ce cas n’est même pas qu’il gagne un deuxième mandat mais fasse emprisonner beaucoup de responsables. Dans ce cas rendons grâce à Dieu pour les prières de Vigano.
Mais si, comme il est à prévoir bien plus probablement, Trump, justement devant le risque non négligeable d’un assassinat punitif, ne fait pas tout le nécessaire qu’il peut faire pour gagner et préfère abandonner ou préparer sa fuite vers un lieu comme Dubaï ou l’Arabie juste avant la fin de son mandat pour éviter les procès vengeurs qu’on lui ferait aux USA, bien, il faut conclure qu’il n’a jamais été sincère dans la démarche qu’on lui suppose, qu’il s’est toujours plutôt moqué de la clientèle électorale captive qu’il a charmée, et qu’il n’aura su opposer à l’état profond que du narcissisme et une suivie plus accélérée encore de la ligne générale sioniste par les services très empressés qu’il a rendus à Israël.
Dans ce cas considérons que Dieu n’exauce pas les prières de Vigano pour une très bonne raison qui a échappé jusqu’ici à son entendement : même s’il est clair que l’Église post-vaticane n’est plus du tout l’Église de Pierre, mais son antithèse plutôt, comme la République n’est pas la France et l’URSS ne fut pas la Russie, il est non moins vrai que le Dieu adoré depuis 300 ans par presque toute l’Amérique blanche n’est pas le Dieu chrétien mais le Dieu d’Israël au sens de l’Israël moderne, autrement dit une personnification de la fatalité la plus cruelle dont on espèce se faire élire pour échapper au sort qu’elle voue au gros de l’humanité à qui elle a déclaré la guerre, et que le Christ que ces gens adorent est en fait la divinité germanique Wotan, un héros prêt à se sacrifier certes, mais pour enclencher le crépuscule des dieux, la fin du monde, échéance que l’humanité peut reporter en versant un tribut aux peuples germaniques. D’où le fait que presque tous les livres de piété protestante évangélique passent le clair de leur temps à parler d’apocalypse imminente : c’est une religion du chantage. Vigano, par une erreur qu’il faut lui pardonner mais non pas approuver, n’a pas mesuré la fausseté du Dieu dont presque tous les Américains se disant croyants se réclament.