Horreur à Sciences Po : création d’un groupe "d’intersectionnalité raciale" !
6 décembre 2020 11:18, par SevJe rappellerai plusieurs critères sur l’instinct naturel de discrimination... entre autres que c’est surtout et avant tout au niveau de la structure affective profonde inconsciente que s’opèrent les choix. Certes, la beauté, le charme des un(e)s et des autres jouent un rôle premier, mais il reste anecdotique ; in fine, c’est bien le schéma affectif de référence infantile qui l’emporte (relation affective parents / enfant).
Les spécialistes du psychique humaine parlent à juste titre de répétition de schéma affectif. A y bien regardé il est en effet assez facile de constater que dans tous les cas de rupture, divorce puis nouvelle relation, s’il est vrai que les nouveaux "choisis" ne se ressemblent pas physiquement, le type relationnel, lui, est toujours le même depuis la première relation d’attachement.
La plupart des gens ne sont pas conscients de ce phénomène. Ils évaluent leur propre changement relationnel amoureux à l’aune des indices extérieurs... la mécanique d’attachement, d’attirance, les répétitions de système profond leur échappent.
Pour ce qui est de l’anti racisme basée effectivement sur l’invention de la french theory, on peut facilement vérifier que cette invention ne va pas sans l’élément fondamental de toute manipulation du réel : la modification du sens des mots et leur affectation.
Le pouvoir de création de nouveaux modes de pensées réside avant tout dans la manipulation sémantique. "Race" a une connotation négative parce que tout un discours à fait en sorte que.
Quant au système de domination, les femmes, qui aujourd’hui en veulent aux hommes supposés être les responsables de leurs souffrances, sont tout simplement en train d’inverser les rapports de forces ; elles deviennent les dominatrices du "nouveau monde" qu’on nous concocte depuis des décennies. La domination des femmes prend tout simplement un autre chemin particulièrement pervers : le "care".
Le "care", qu’à lancé Martine Aubry du temps de ses rêves politiques, est l’une des armes féminines les plus redoutables envers les hommes car il infantilise totalement le peuple... femmes et hommes confondus. Il suffit d’observer et d’écouter les discours ambiants et les comportements depuis le début de la fausse pandémie... ça chouine, ça pleure, ça tremble, ça exige d’être pris en charge, ça se comporte comme des ados soumis ou vindicatifs et ça veut aller jouer dans les espaces ludiques. Le "nouveau monde" risque en effet d’être "féminin" !