Partant de l’axiome politique - délibérément et sciemment appliqué dans cette crise sanitaire, qui n’en finit pas de renaître de ses cendres - émanant d’un certain Machiavel et postulant que "Gouverner, c’est faire croire", la position de ce monsieur Vaccin - sûrement aux ordres, lui aussi, tout comme Macron, qui tient exactement le même discours... - ne peut qu’interroger tout un chacun quant au but de ce qu’il énonce si doctement.
On commence - en effet - par recommander la prudence, parler de doute sur la pertinence du vaccin et de son utilisation, puis on finira par dire - probablement dans quelques semaines - que tout est dorénavant parfaitement encadré/assuré/suivi, et le procédé - bien qu’ayant commencé par générer une hausse substantielle d’anti-vaccination - se poursuivra par une hausse exponentielle de pro-vaccination, et se terminera sur des bénéfices faramineux pour Big Pharma.
C’est en tout cas - très certainement - l’effet escompté.
On appelle ce genre de discours - à base d’éléments de langage soigneusement et graduellement distillés - la manipulation des foules...
Les Français seront-ils dupes - ou pas - tout est là !