"Être « progressiste », c’est croire que quelqu’un d’autre doit être « réactionnaire ». Être progressiste, c’est pratiquement une forme sévère d’amour de soi-même", je ne sais pas si c’est ironique, mais c’est exactement l’inverse. L’amour de soi, même sévère, n’a pas besoin d’avoir quelqu’un (un réac’) à mépriser pour se sentir bien. Ceux qui ont besoin de se croire élu -en opposition à d’autres dans ce cas là-, font l’aveu de leur médiocrité. Être progressiste c’est avoir besoin que d’autres soient réactionnaires, etc...
Si Iznogoud passe au pouvoir il faut bien qu’il s’invente une histoire pour les autres mais aussi pour lui-même...
Le clivage est toujours le même :
Ancien : il est une particule du cosmos, c’est ça, sont humilité. Il est un élu, comme tout un chacun, puisqu’il est né, etc...
Moderne : il est qqchose de nouveau (c’est dans sa tête...), même de révolutionnaire ! Il est différend (ou c’est les autres qui sont pas comme lui, bref il lui faut qqun d’autre pour se définir), donc il fait parti d’un groupe à part...il réclame le droit de vivre (évidemment quand on se défini par rapport aux autres...), il aime faire la morale mais ne la pratique pas (il est une victime ou une ancienne victime vous savez...), d’après Nietzsche, il l’aurai même inventé (la morale), c’est son arme (il en a pas d’autre...sauf la haine bien sûr !), enfin (ou plutôt entre autre) son humilité consiste à pleurer son humanité (les gens qui prônent le plus les vertus d’humanité sont différents de ceux qui les pratiquent sans les prôner).
La maladie ce n’est pas l’amour de soi (si tant est qu’on sache Ce que l’on Est), la maladie c’est d’exiger sans cesse l’amour des autres, d’exiger qu’ils nous louent (de louanges...pas de quiproquos !), ou nous admirent comme seuls moyen de s’aimer soi-même (de son petit soi-même qui a besoin qu’on lui dise, etc...)
Pour finir :
Iznogoud à pris le pouvoir (en utilisant les crétins unis),...merde ! En fait il est pas califié !