L’affaire Szájer : vices privés, vertus publiques
14 décembre 2020 08:44, par ooo
Il va falloir faire un gros ménage.
Un député, je croyais que c’était sérieux, lettré ou talentueux en quelque chose, pas paresseux, moral et raisonnable, plus intelligent que le reste des administrés.
S’il ne l’est pas, dehors !
Et s’il trahit son devoir de représentation, au gnouf.