L’affaire Szájer : vices privés, vertus publiques
16 décembre 2020 17:15, par PLB
Mesurer la qualité d’un homme à ses actes plutôt qu’à ses propos me parait une évidence. J’en ai assez de voir aux commandes de pays entiers des individus délurés à la morale douteuse. L’homosexualité, on ne peut la condamner, reste un fait minoritaire. Or c’est bien là le problème. Puisque certains se disent démocrates, comment peuvent-ils accepter d’être gouverner par des hommes qui eux-mêmes ne sont pas représentatifs de la vaste majorité hétérosexuelle ? Que ce type s’adonne à des parti de jambes en l’air avec d’autres hommes m’importe peu, qu’on le présente en victime parce qu’il a « été obligé de démissionner » pour le moins me gène. Que les Hongrois ne veuillent pas d’un sodomite drogué, me réjouit ; cela démontre qu’ils ont encore un certain bon sens. Au diable la controverse au sujet de ce type ! Il n’est pas digne, au sens des Hongrois, d’occuper un tel poste. Au nom de quoi pourrait-on leurs reprocher un tel jugement ? Ne sont-ils pas souverains en leur pays ? Laissons ce triste sir pourrir dans les poubelles de l’histoire et passons à autre chose.