Macron prône l’enseignement de l’arabe, pour une population majoritairement berbérophone
16 décembre 2020 16:53, par PLBLe langage est l’outil principal de la conceptualisation et donc du raisonnement. Plutôt que de promouvoir l’enseignement des langues étrangères, il faudrait au lieu de ce hideux salmigondis anglicisé promouvoir le vrai Français. On ne peut comprendre les subtilités d’une langue étrangère que si on ne possède déjà une solide connaissance de sa propre langue. Or, depuis des décennies, les langages médiatiques et politiques ne font usage que d’approximations conceptuelles, de néologismes injustifiés, d’une syntaxe pathétique, d’une grammaire violée ; le tout avec une vulgarité toute progressiste.
Qui de nous peut se targuer d’utiliser à bon escient les formes interrogatives correctes dans le parlé courant ? Qui de nous ne s’en remet pas à ses approximations syntaxiques et à sa grammaire de fainéant ? On constate que cette dérive linguistique affecte les gens aux plus hauts postes de responsabilité autant que le bas peuple. Il n’est donc pas étonnant qu’un Macron, déjà ignorant de sa langue (il suffit de l’entendre parler), ignore les réalités historiques et culturelles de l’Afrique du nord. Pour que cela ne soit pas le cas il faudrait qu’il ait une culture. Ce n’est certes pas accompagné d’un professeur de Français probablement nymphomane qu’il risquait de l’acquérir. Décadent il est ; décadent il reste ; inculte il demeure.