Anna Arendt est à la philosophie allemande ce que Proust est à la littérature française : du " talmud mérovingien" (Céline).
Et ce que Chagall est à la peinture moderne, un barbouillage prétentieux qu’on est obligé de supporter quand on va à l’Opéra. .
Et ce que Shonberg, Mahler, Glanzberg, Schnabel, Leonard Brrnstein sont à la musique européenne, des espèces de sonneries de shofar du grand rabbin hautement anxiogènes.
Ils sont là pour prendre de la place partout alors qu’ils n’ont aucun génie puisque leur dieu leur interdit d’avoir du génie. Pas la peine d’aller plus loin. .
Ainsi Arendt est assurée de survivre dans "l’entarte Kunz" : les snobs la lisent ! Elle est constamment citée à France Culture. Enfin, ils disent qu’ils la lisent pour ceux qui veulent échapper à l’ennui et ne veulent pas être recalés à leurs examens de sciences po. ;