Silvano Trotta reçoit Alexis Cossette : Covid-19, État profond, Grand Reset, Trump
29 décembre 2020 01:32, par SedetiamJe suis l’un et l’autre gaillard, dont Alexis Cossette histoire de sourire de son exaltation et de son accent.
Cependant, il me semble que l’un et l’autre ont un temps de retard : « nous » sommes, selon moi, par la Bête Kapital qui nous véhicule, déjà dans le bouillon (pour ne pas dire dans le poison qu’elle contient, qui s’est déjà répandu pour la faire crever, tant elle ne peut se recomposer comme auparavant : guerres, réajustements monétaires, crédits jusqu’aux intérêts négatifs, etc.) et que les plans qui sont en cours avaient été pensés en cas de coups durs, afin d’atténuer le choc : choc démontrant aux peuples que cette « Bête » est une belle merde et que les élites autoproclamées qui lui font faire des tours de cirque, nous ont bien mis dedans (encore une fois), par leurs belles promesses (de croissance infinie) : et de se préserver du violent retour de bâton en masquant leurs fautes passées derrière l’épiphénomène Covid tout en nous verrouillant sur son dos (et celui de l’état d’urgence terrorisme en passant), de sorte à passer pour des « sauveurs » plutôt que pour des crapules auxquelles nous aurions envie de couper la tête.
Lequel d’entre nous peut croire un instant qu’il va continuer son train de vie d’occidental moderne, le cul posé sur un stock de ressources finies, au gré d’une croissance infinie et d’une démographie en explosion totale (négligeons même le climat dans cette affaire), démographie valant milliards d’individus « émergeant » qui ambitionne notre train de vie ? Sans que cela ne parte en vrille ?
Il y a forcément des castes (pour ne pas dire des classes sociales) qui vont morfler : la chose me paraît non seulement ineluctable, mais en route depuis un petit moment.
Le seul bordel dans mon esprit c’est que ces pseudos élites ont subtilisé les graines (propices à se nourrir)...
En tout cas, j’essaye d’apprendre à cultiver un potager : d’abord par la lecture et le visionnage : puis synthèse. Parce que ça pourrait chauffer.