La cour a notamment relevé le fait qu’il était « notoire » que ce geste était « parfois un faux nez de l’antisémitisme » et que, « dans l’esprit » d’Alain Soral, il revêtait une « signification antisémite » et démontrait le fait qu’Alain Soral entendait « persister et signer dans une provocation antisémite ».
« Nous sommes satisfaits » par cette décision, a réagi Me Rodolphe Cahn, l’avocat de la LICRA. « L’acte avait pour finalité d’injurier la communauté juive », a-t-il ajouté, saluant « un arrêt bien motivé »...
Aaah booooooon ! Devant un tribunal c’est de « l’antisémitisme » et ça c’est bien motivé !
Bon sang, j’ai cru être sur le Gorafi !
« Il est notoire », « parfois » « un faux nez », « dans l’esprit »…
Je suppose que ces mots ressortissent donc au registre du concret et de l’objectif, de ce qui est prouvé et certain…
Personnellement, j’aurais considéré comme décision de justice la condamnation des parties civiles pour procédure abusive.