Élection américaine (partie 7) : du Capitole au 20 janvier
22 janvier 2021 05:58, par Bao QingtianAlexis Cossette est cohérent sur toute la ligne. Ses analyses tiennent la route et sont fondées. Il ne s’est pas planté : le départ de Trump qui jetterait l’éponge face à Biden et à la fraude massive, sans avoir livré bataille devant aucun tribunal, n’est pas cohérent. Après tout ce que Trump a fait et savait, depuis très longtemps, d’autant plus qu’il n’y a pas plus combatif que lui, ça ne colle pas.
Plutôt que de se battre devant des tribunaux civils corrompus, il a transféré le pouvoir à l’armée. Biden n’a même pas pu se rendre à son inauguration à bord du Air Force One mais seulement d’un jet privé ! L’armée est encore aux commandes.L’inauguration de Biden a été pré-enregistrée, alors que 20.000+ soldats étaient sur place pour soi-disant protéger une inauguration virtuelle... Tout ça sent le souffre pour la nouvelle "présidence".
Une des raisons/scénarios plausibles (avancés aussi par la Croix du sud), et qu’en quittant la présidence, Trump évite de passer pour l’auteur d’un coup d’état militaire. Il a remis ses preuves et les pouvoirs à l’armée, la seule entité politiquement neutre. L’armée (tribunaux militaires) a toutes les preuves, notamment l’ingérence de puissances étrangères dans l’élection et leur main mise sur Biden. Elle a le devoir d’intervenir, et doit avoir le "courage" de le faire (mots de Trump dans son discours de départ). Il faut maintenant suivre ce qui va se passer, mais Biden est un traître illégitime très mal assis sur son trône. Il peut très vite sauter. La balle est dans le camps de l’armée. Trump joue clairement la carte militaire, et ce n’est sûrement pas sans préparation.
Cossette est excellent dans ses lectures. Et il le dit clairement : il ne s’agit pas de "croire" à un "mythe" Qanon, mais bien d’analyser les agissements de Trump, les faits, ce qui se trame en coulisse.
Sa dernière émission : 30 jours pour l’Armée
https://rumble.com/vd4e47-30-jours-...
Mais bon, ayez un peu la foi les gars, au lieu de toujours jouer les pessimistes blasés qui savaient tout et de cracher sur Radio Québec... On n’ira jamais loin avec des blasés et des résignés.