Chiffres INSEE et Covid : mythes et réalité de la surmortalité en 2020
17 janvier 2021 13:37, par pleinouest35Le refus systématique et donc systémique de parler de bonne santé et d’immunité naturelle, l’interdiction de l’hydroxychloroquine* pourtant bien connue et maîtrisée, le silence autour de l’Ivermectine, le refus de toute forme de médication alternative autre qu’un projet vaccinal ARN somme toute dément en l’absence de recul, avec le truquage des sondages d’opinion, surtout la diffusion quotidienne de la peur faisant baisser l’immunité avec le stress, les confinements qui ont empêché les dépistages des maladies et les soins, la destruction programmée du système de Santé, notamment la disparition de 69.000 lits en 15 ans, l’utilisation massive de tests PCR à 40 ou 50 cycles donnant 90 % de faux positifs, la mortalité moyenne des morts de covid établie à 84 ans, et ces victimes de covid qui le sont à plus de 90 % avec de la comorbidité (donc morts avec et non simplement de), tout ceci sort du cadre de ce qui est raisonnable de croire, même lorsque l’on prend en considération les collusions, l’appât du gain, les conflits d’intérêts. Il est facile de conclure qu’il faut diviser par 10 le nombre réel de morts et celui de contaminés, comprendre qu’il est aberrant de faire porter le masque aux enfants, encore plus de planifier une expérience génétique sur la population prise comme comme cobaye. Pour trouver encore une raison logique à l’inertie, comme à la lâcheté ambiante de ceux qui obéissent, il ne reste que l’expérience, une mise en œuvre du conditionnement de masse à l’échelle globale, dans le cadre d’une dystopie, en usant de mesures contradictoires non fondées, arbitraires et en cela destinées à diminuer dans la population toute capacité saine de réflexion et de jugement. Didier Raoult avait raison depuis le début, il fallait isoler les personnes malades et les soigner, cela suppose de donner des moyens au système de Santé, un nombre suffisant de soignants et de lits, aussi d’appareils médicaux, c’est le contraire qui a été entrepris, faisant perdre des sommes astronomiques en amenant inexorablement tous les pays à leur ruine économique, aussi n’est-ce pas alors en toute logique politique le but recherché ? Si tel n’est pas le cas, si encore la folie ou l’incapacité, la corruption et les conflits d’intérêt ne suffisent plus à expliquer le massacre social en gestation accélérée, doit-on y voir la volonté d’instaurer une dictature mondiale, un génocide partiel ou plus large des populations rendues à l’esclavage, ou une stérilisation forcée ?