Jean-Pierre Bacri (1951-2021), ou comment réussir en faisant la gueule
29 janvier 2021 23:09, par patriceCroyez-vous qu’il soit vraiment constructif de critiquer un mort qui de surcroît était plutôt sympathique avec notamment L’Eté en pente douce !
Réfléchissez plutôt à la doctrine zarathoustrienne pronée par Nietzsche selon laquelle bien et mal sont intimement mêlés, la non violence de Jésus ; c’est par le seul amour, l’entraide et les bonnes actions que nous
précipiterons le point de basculement de ce monde matérialiste à l’agonie, tout conflit ne faisant que
prolonger cette agonie car au final, les sionistes ne sont que des idiots utiles et cupides qui ont précipité le chaos créateur d’entropie pour finir bientôt dans la fosse septique de l’oubli de l’histoire, ce chaos sera libérateur et nous débarrassera enfin de nos chaines mentales et du principe du mal qui n’a que trop régné pour que le principe éternel des âmes soeurs puisse réemerger à notre conscience !!!
“ Il est difficile de savoir qui je suis : Attendons 100 ans : Peut-être y aura t’il d’ici là un connaisseur génial des âmes qui exhumera Monsieur F.N ? ... Des oeuvres de cette nature ont de grandes ambitions, elles ont besoin de temps, Il faut d’abord que l’autorité de plusieurs siècles intervienne pour qu’on lise quelque chose correctement... “ Friedrich Nietzsche, correspondance Tome 5.
Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra. »
« N’es-tu cette lumière que réclame mon feu ?
N’es-tu pour mon discernement cette âme qui est une soeur ?
Ensemble nous avons tout appris ; ensemble nous apprîmes, plus haut que nous mêmes, à nous élever jusqu’à nous-mêmes, et à sourire sereinement.– à sourire sereinement là-haut, sourire des yeux clairs et
des immenses lointains lorsqu’au dessous de nous exhalent leur pluvieuse vapeur contrainte et but et faute.
Et je cheminais seul ; de qui avait elle faim, mon âme, sur des sentiers de nuits et d’égarement ?
Et lorsque je gravis des montagnes, qui cherchais-je jamais si ce n’est toi, sur les montagnes ?
Et tout mon cheminement et toutes mes escalades, rien que nécessité et expédient d’inexpert ; – voler, c’est cela seul que veut mon entier vouloir, jusqu’au dedans de toi, voler !
Et qu’ai-je plus haï qu’errantes nuées et tout ce qui le souille ?
Et j’ai même haï ma propre haine parce qu’elle te souillait !
A ces errantes nuées j’en veux, à ces chattes ravisseuses qui se glissent ; elles nous privent tous deux de ce qui nous est commun : l’immense et
sans limites dire Oui et dire Amen ! »