Sur la plupart de ses interventions, il ne fait que rappeler des évidences, notamment en terme d’éthique, totalement oublié par ceux là-même qui sont censés prendre des décisions sur la base des remontées émanant du terrain.
J’ai tout de même un problème avec le discours du professeur Raoult surtout lorsqu’il parle de bénéfice risque avec les vaccins.
Je ne connais pas son niveau de connaissance en la matière, certainement moindre qu’en virologie puisque ce n’est pas sa spécialité. Cependant il doit ou a dû en discuter avec des collègues du même gabarit que lui, alors comment peut il affirmer qu’il n’y a pas de débat sur la vaccination, surtout sur les produits employés dans ces sérums dont le bénéfice financier dépasse largement le bénéfice en terme de santé publique qui en définitive ne pèse pas lourd dans les décisions de stratégie médicale moderne.
Il rappelle tout de même que ce n’est pas une solution viable et unique dans la lutte épidémique, alors pourquoi cibler plus particulièrement les plus fragile dont le système immunitaire n’est bien souvent plus capable d’encaisser les cocktails vaccinaux. L’argument bénéfice risque me semble un peu léger, à moins que l’espérance de vie résiduelle ne soit pris en compte dans l’équation.
Bon on a compris pour la plupart ici, l’arnaque, mais force est de constater que le plafond de verre vaccinale, tel le Saint Graal, permet d’occulter toutes les stratégies de soins les moins invasive, dont les résultats sont souvent spectaculaire en dépit d’un business plan moins attractif.
Les recherches montrant les fortes probabilités de liens de causes à effet entre la surenchère allopathique, dont la vaccination fait partie intégrante, et l’explosion de maladie orpheline, auto-immune ou chronique ne peuvent être évacué aussi facilement.
Son côté pasteurien alors même qu’il fait référence à Hippocrate dans sa gestion de crise est contradictoire.
Bon il est certain que le repositionnement de molécule qui est son cheval de bataille ne trouve aucun écho au sein d’une communauté scientifique avide de profit et gangréné par l’idéologie du progrès.
Je ne le blâme donc pas, puisqu’il soulève des questions d’une grande pertinence, notamment sur les fameux modèles économiques, porteur de conflits d’intérêts, ayant contribué au fiasco sanitaire du Covid.
Peut on seulement parler de fiasco, lorsqu’un nombres conséquent d’indices, montrent qu’il y a eu crime avec préméditation dont le mobile reste occulté par l’alibi scientifique.