Je suis persuadé que les mères SAVENT et voient INSTANTANÉMENT qu’il ne s’agit pas de leur oeuf, mais sont tellement marquées par la perte du leur que dans le doute, elles préfèrent se dire que "ça ne pourrait pas être un autre que celui-ci", tellement confuses que l’instinct de mère les rend incapable de détruire un oeuf, un état post-traumatique qui conduit à un flou artistique entre la précaution (espérée) et l’empathie (refoulée).
Visiblement, une mutation génétique est nécessaire à certaines espèces pour s’apercevoir de la supercherie, savoir reconnaitre un oeuf de ce coucou, anticiper le danger qu’il contient...
Sinon, il risque d’y en avoir beaucoup de "vilains petits canards"...