Microsoft veut proposer des doubles virtuels pour vaincre la mort
4 mars 2021 16:59, par jvidepiExactement comme dans le film "Surrogates" ou "Clones" en français avec Bruce Willis. J’ai revu ce fil récemment et j’ai trouvé la prémisse troublante dans ce contexte de covid..
Je hais Hollywood pour les mêmes raisons que vous, mais ayant revu ce film récemment je l’ai trouvé très approprié en ce contexte de covid machin. En gros voici l’idée :
Dans une société futuriste, le commerce des « clones » ou "robot de substitution" est en plein développement et une seule compagnie les fabriquent (monopole de type Microsoft). L’énorme majorité de la population pilote une version robotisée d’elle-même, actionnée mentalement. Pour éviter de se montrer en public, ces personnes restent à la maison et se servent de leur « clone » pour tout faire à leur place : Travail, loisir, courses, etc..Ainsi, elles sont en grande partie immunisées contre les désagréments de la vie comme la violence, virus etc..
En outre ils n’ont plus besoin de soigner leur apparence ou de s’entraîner puisque leurs clone (un véritable copie physique d’eux même), est toujours frais et dispos. À moyen et long terme, les humain deviennent taciturne, laid, négligés et dépressif.
Il existe pourtant des réserves interdites aux clones, dirigées par un homme nommé « Le Prophète », où habitent des humains qui refusent d’utiliser cette technologie (Les Réfractaires).
Au début du film, deux « clones » sont détruits à l’aide d’une arme inusitée. Les propriétaires de ces « clones » meurent également sur le coup, couchés dans leurs fauteuils servant à piloter les clones. Cela ne devait pas se produire selon le constructeur des clones. Willis joue le rôle d’un flic qui enquête sur l’incident et petit à petit réalise le piège de cette nouvelle vie que l’on a imposé aux populations mondiale. J’en reste là pour pour ne pas vendre le "punch" pour ceux qui voudraient le voir.
Avouez qu’il y a de quoi réfléchir à ce que nous prépare l’élite. En cette période, ce film est tout indiqué. Il nous amène à réfléchir sur notre condition de dépendance à la technologie et aux forces d’argent qui croient tout pouvoir imposer aux masses, ce que les producteurs du film n’avaient sûrement pas prévu lors de sa sortie en 2009.