Caroline Giganti (ex Barclay, ex Coencas le roi des ferrailleurs déchu) est une fille follement ambitieuse et très maline qui possédait un corps parfait quand elle était jeune (ses nombreuses photos dénudées sur le net en témoignent encore) et un joli minois avec un air de Sainte Nitouche qui excitait particulièrement les vieux. Elle s’en ai tapé des wagons, toujours riches, et elle ne s’en cache pas. Bravo, cela correspond à notre expérience de la vie, pas à celle qu’on nous raconte dans les milieux autorisés.
Elle confirme que pour qu’un homme abuse d’une femme, il faut, sauf exception, que la femme ne résiste pas sérieusement. Re-Bravo, cela recoupe tous les témoignages que j’ai personnellement recueillis dans mon entourage féminin qui, désolé pour cette immodestie, n’est pas vraiment constitué de "cageots".
Ceci dit, pour le fun, j’offre une prime à celui qui retrouve les écrits d’André Bercoff où il racontait dans le détail au début des années 90 comment Barclay offrait sa généreuse et ouverte Caroline à ses potes après des repas où lui, Bercoff, prenait soin de ne pas trop boire ni trop avaler afin de profiter au maximum du joli cadeau...
Dans un autre genre mais sur le même sujet, le témoignage de Jean-Louis Murat est aussi un document utile pour tout sociologue s’intéressant à cette catégorie sociale où la réalité dépasse vraiment la fiction.