L’OMS confirme que les tests PCR pour le Covid-19 sont le plus souvent invalides
23 mars 2021 13:25, par PLBAinsi, le WHO (World Homicidal Organisation ??) forcé par une masse de scientifiques sérieux en est réduite à admettre ses mensonges. Fort est à parier que les médias dominants ne relaieront pas l’information. Ces aveux n’auront aucun impact sur la politique du gouvernement, car il est évident que les buts recherchés par ces privations de liberté, imposées à force de décrets princiers, n’ont rien à voir avec la santé publique. Quant aux accusations d’incompétence administrative et gouvernementale que certains oseraient proférer, elles seront mises sous le boisseau et les plus tonitruants des opposants seront ballonnés à grand coup de control fiscal et d’autres tracasseries administratives voire, pour les plus récalcitrants, bancaires et si ca ne suffit pas ce sera la taule. Rien ne change.
Toute cette histoire me rappelle un peu la mise en scène des armes de destruction massives de Saddam Hussein pour justifier l’invasion et la destruction de l’Irak. Les ressorts sont les mêmes : la peur, la propagande, le mensonge, la culpabilisation des opposants, leur dénigrement et accusation pour complotisme, et les insultes qui accompagnaient tout cela. Ici, comme à l’époque, les ficelles sont grossières, flattent les bas instincts pour déclencher les vieux reflex ataviques : effrayer les femmes pour qu’elles fassent vacciner les enfants, terroriser les vieux pour qu’ils courbent encore plus l’échine, détruire les hommes par la contrainte économique, policiere, étatique. Rien ne change.
Les méthodes dictatoriales jadis utilisées par des régimes, peu légitimes, pour justifier des politiques iniques et cyniques sont de trour : priver le peuple de sa liberté pour le protéger, censurer les médias libres pour défendre la vérité, imposer des traitements dangereux au nom de la santé, ruiner le pays au nom de l’intérêt supérieur de la nation. Orwell en frémirait. Rien ne change.
Tout cela n’est que mascarade de clowns tristes. Derrière l’écran de fumé d’une épidémie fabriquée, se dessine le but ultime de la richissime classe des 0.1%. La gouvernance globale par la peur et la coercition au nom de la morale sanitaire ou autre.
Décidemment, le sous-titre du livre de ce Du Guesclin qu’est Soral, sans peur, sans reproche, est plus que prémonitoire ; il est terrifiant car visionnaire :
"Demain, la gouvernance globale ou la révolte des nations".