Dîners mondains clandestins : qui est visé et qui tombera ?
6 avril 2021 12:10, par PeaceCe que nous vivons en France tient en ces mots :
Pénurie Organisée (synonyme possible : destruction volontaire).
Hydroxychloroquine, masques, matériel médical au début du Covide dans la Santé.
Énergie : sabotage (par non-maintenance, non-defense) du nucléaire, seule solution centralisante optimale et écologique pour le moment. Mix énergétique de l’UE, Linky et rationnement énergétique à terme.
Transport : fermeture des petites lignes donc enclavement de communes entières, choix du tout routier dans des régions fluviales, abandon brutal du thermique Diesel, non-régulation du prix des carburants. Mirage de l’électrique...
Enseignement : fermetures-fusion de classes, d’établissements, fusion-refonte des programmes (=destruction). Numérisation trop rapide, trop générale. Mépris des filières professionnelles, Acadomia, Université en roue libre, ...
Etc, etc.
Vous croyiez que nos dirigeants n’auraient pas accès à l’HCQ, aux meilleures cliniques avec techniques naturopathes ?
Ils pourront toujours faire de la moto, de la Ferrari quand vous roulerez en Zoe.
Ils chasseront au fusil, auront accès à toutes les armes quand nous aurons le droit à un couteau à steak pour nous défendre.
Pas de Linky dans leur résidence (même urbaine), donc pas de risque de délestage. Home Cinéma et jacuzzi offerts pour Greta.
Les enfants des élites pourront même s’intéresser aux métiers traditionnels (charcuterie, la pierre et le bois, ...) dans les meilleurs établissements, ce ne sera pas un problème.
Il était évident que la restauration serait maintenue pour eux. Il s’agit de faire oublier aux Français ce que c’est que d’aller au restaurant.
C’est le fond du programme Macron, son esprit même, le en-même-temps !
Ça a été la technique de LAREM depuis le début : détruire, limiter pour le plus grand nombre, la population, et créer des voies en douce pour les initiés.
Au final, cela crée 2 réalités parallèles : une où tout est limité, enfer pour l’homme, une autre où tout est possible, paradis pour l’élu.