Transcription inverse de l’ARN du SARS-CoV-2 et intégration dans le génome humain
10 avril 2021 11:53, par SevAyons du bon sens et de l’humilité...
Notre "science" n’a pas fait de réels progrès spectaculaires en matière de curatif, elle en a fait essentiellement en terme de diagnotiques et c’est ce qui donne l’impression que cette médecine aurait "fait d’extraordinaires progrès".
Cette médecine est devenu un enjeu financier majeur grâce :
au brevetage des molécules qui rapporte des sommes colossales de royalties,
à l’amortissement de l’achat d’appareils de diagnotiques de plus en plus sophistiqués et archi onéreux.
C’est donc le patient, devenu "client" entre temps, qui paye le coût exorbitant de cette médecine et plus particulièrement la Sécu pour la France.
Il y a là une manne énorme que reluquent les BlackRock et autre Vanguard qui attendent de récupérer cette industrie de profits exponentiels... comme les retraites.
Cette techno permet d’observer l’organisme humain au niveau du plus petit élément. La conséquence est calamiteuse car elle exclue de facto le fonctionnement parfaitement holistique de tout organisme vivant.
A force de vouloir trouver une unique "cause originelle" à toute maladie, dysfonctionnement par l’isolement de la plus petite particule observable, on finit par croire que le ciblage sur cette infime particule isolée permettra de soigner (!) en agissant, souvent chimiquement, sur cet élément microscopique. C’est erreur totale.
Tout organisme vivant vit en mode holistique, en interaction intégrale extérieur / intérieur. C’est pourquoi la médecine moderne, à études séparatives, ne peut soigner mais seulement taire les symptômes.
Ce choix consistant à cibler uniquement les symptômes entretien les gens dans un état de "bobos chroniques", ce qui est beaucoup plus rentable pour Big Pharma. Tout le monde ici l’aura compris.
Démontrer la fonction de transcription inverse de l’ARN (qui est en réalité la grande découverte de Beljanski) ne permettra pourtant pas de trouver un remède miracle, ni pour le corona19 ni pour tout autre pathologie... parce que notre organisme fonctionne par une interaction très mystérieuse que la science d’aujourd’hui est infichue de comprendre puisqu’elle n’étudie que par isolement des parties.
L’Artemisia anua
ou afra
est l’exemple notoire qui illustre cette interaction géniale. C’est la composition intégrale de la plante qui soigne la malaria et non l’unique artémisine qui la compose !