Toujours excellent mr K comme d’hab. Le passage du bouquin d’Atalli de 1981 que je ne connaissais pas sous une telle intensité est criard d’un frisson émis de la technocratie mal placée révélatrice. S’en méfier comme de la peste de ces zigotos en devient une nécessité. Attali reste un grand, un très grand ( certes) laquais, mais ça reste un laquais ! Il y a plus gros derrière tapis dans l’ombre de la noirceur.