Grand Reset du foot : la Super Ligue de la finance internationale contre les peuples
22 avril 2021 21:55, par novaBravo messieurs pour cette dernière vidéo expliquant parfaitement à travers le sport la tentative de virtualisation de l’espèce humaine.
Car à un moment il faut bien se le dire à ne plus voir personne ou grand monde, du confinement à l’interdiction de rassemblement ils enferment l’espèce humaine dans une bulle pour mourir comme on enferme le dissident ou l’opposant politique dans une geôle.
Le monde d’avant de celui d’une tribune de stade en famille ou entre copains, d’un verre sur le zinc au contact d’autres, de pistes de dance, de ferias, de bals, de concerts, de culture en spectacles avaient la particularité du partage, de l’union humaine qui fait la force vitale d’un peuple à créer de l’amour.
Il manque juste la conclusion du pourquoi ce grand chamboulement sociale.
D’un taux de natalité en chute libre, d’une peur panique de simplement pouvoir sortir de chez soi dans les règles d’une attestation, d’un masque, d’un confinement, d’un télétravail sous peine de sanctions pour éradiquer en plus soft d’un camps de concentration sans nourriture et sans soins une grande partie des Hommes et de réécrire l’Histoire par le numérique et les médias sous contrôle totale actuel de ses fous.
Le repas à 1€ de nos étudiants, les soupes populaires pour repousser le seul vrai changement possible d’une révolution sont la seule limite à ne pas franchir pour eux et ils le savent alors coûte que coûte ils s’accrochent à un grand fantasme sans doute très bien incarné dans la vision cinématographique futuriste d’un Besson ou d’un Spielberg bien avant les années 2000 : d’un monde devenu détestable où seuls les élus peuvent vivre en toute quiétude pour le reste les gueux, les sans dents, les gens qui ne sont rien comme ils le disent d’un 99,9 poucent des nôtres la survie sous contrôle de polices d’Etat ou privés pour seule perspective d’éloignement et de liberté d’un présent déjà acté en France.
Nous sommes à ce croisement je le crois ou nos adversaires passent pourtant en pleine lumière tous les jours sur nos écrans à nous prescrire ce médicament qui lobotomise efficacement le plus grand nombre d’entre nous dans un silence assourdissant tout comme ces stades vides qui devraient contenir des foules remplacées par la liesse de bandes sons de machines.