Le sexe en tant que condition d’accès au sacré ? – Recension de Métaphysique du sexe de Julius Evola
20 juin 2021 10:05, par La nuque roideL’affaire est simple, ceux pour qui le sacré ne veut rien dire, sont ceux qui tuent pour des vétilles, lesquelles vétilles sont à même de se présenter idéologiques, à l’importance dé lors soudain considérable.
Quand la vie n’est pas évaluée sacrée, la vie, itou d’autrui, n’est en rien respectée.
S’ensuit alors que plus rien n’est sacré vu que la vie est cette graine sur laquelle tout s’érige.
Si la vie n’est pas sacrée, pourquoi une de ses branches le serait et donc pas davantage un de se représentants.
Soit la vie est sacrée, tu la respectes.
Soit non, tue la...sans état d’âme aucun.
C’est aussi simple que cela.
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Je suis pour la peine de mort
Mais non pour en user de façon systématique.
En cela qu’il revient au pouvoir, royal, présidentiel, de gracier.
Il ne saurait faire davantage affront au pouvoir royal et présidentiel que lui ôter le pouvoir de gracier un condamné à mort.
Mais cela, Badinter est incapable de l’intégrer, trop occupé à résilier la peine de mort tout en feignant ignorer l’État français s’employer à être un des marchands d’armes les plus prospères de la planète.
Sous le prétexte : si ce n’est moi un autre État d’en vendre.
Selon cette logique : épouse ta sœur, si ce n’est moi un autre le fera.