La Suède, pionnière des droits des transgenres, fait un pas en arrière
16 juin 2021 08:30, par Médocs et puces
Moi, la question que je me pose, c’est la dépendance aux médicaments et aux médecins que l’on créé avec ce genre de procédures. Un opéré est-il condamné à gober des hormones à vie ? Son sexe charcuté ne demande-t-il pas une attention particulière ? Dans un contexte de fin de civilisation où tout s’effondrera peut-être prochainement, n’est-il pas curieux de baser se rendre dépendant. Je ne parle même pas de la possibilité (plus optimiste ?) que les soins deviennent un jour hors de prix, du doliprane au traitement anti-cancer, à l’américaine.