"Blancheur de la nourriture française" : Sciences Po toujours plus loin dans la dérive racialiste
26 juin 2021 23:18, par jvidepi"Puis en décembre, un groupe d’étudiants surnommé Beingblackatsciencespo (« Être noir à Sciences Po ») a énuméré sur Instagram ses nombreuses revendications, dont celle d’embaucher « un corps enseignant et un personnel administratif ethniquement sous-présenté et/ou formé dans un environnement non occidental »"
Que pourrait bien nous enseigner un prof formé à l’école de Bambou-Ville ? Comment faire 30 enfants à 10 bonnes femmes sans jamais prendre une seule responsabilité ? Peut-être : recette de soupe aux roches en temps d’abondance. Sinon : Comment détourner l’aide extérieure à votre seul profit ?
Le problème est bien là : si on continue d’accepter que nos élites fassent venir le tiers-monde chez nous, on deviendra le tiers-monde.
C’est pourtant facile à comprendre. La France sans Français ne serait plus la France.
Les merveilles architecturales de Paris seraient abandonnées à leur sort, elles se détérioreraient et disparaîtraient après quelques décennies. Plus moyen d’y circuler en voiture : en cessant de sonder le sous-sol et de le solidifier là où il le faut, il y aurait apparition de centaines de "sinkholes" sans compter les déchets partout qui gène la conduite automobile là où elle pourrait encore être possible. Et on ne parle pas encore des violences perpétuelles. La corruption serait endémique non seulement chez les "élites" en babouche, mais aussi chez les simples fonctionnaires comme les patrouilleurs.
Mais tout n’est pas noir. Il y a enfin des dirigeants républicains dans certains états américains qui cherchent à dé-financer voire abolir les sciences sociales dans les universités. C’est la seule façon de mettre fin à ce courant. Grâce à la servilité légendaire des médias de masse qui relaye leurs délires toujours plus profonds, ces hurluberlus aux théories loufoques on gagné en crédibilité chez le citoyen lambda non politisé. Ces propagandistes subventionnés sont au moins aussi coupables que les universités et les dirigeants étatsuniens qui ont tardé à agir.