Veuillez m’excuser. J’étais quelque peu ivre quand j’ai écrit ce commentaire que vous avez publié. Voici, plus bas, ce que j’ai voulu plus précisément dire (la version publiée n’y fait pas office de contre-sens, mais en minore tout de même sérieusement l’expression). Si vous pouviez y retenir ce commentaire ci-bas, en supprimant l’ancien tout en biffant cette mention inutile pour le lecteur, je vous en saurais gré... [Pour le reste, je suis ce François, que vous aviez publié un jour [Reductio ad Hitlerum] qui s’étonne parfois que vous caviardez certains de ses commentaires, celui qui a notamment relu Francis Cousin au Retour aux Sources, et dont certains articles, j’en suis persuadé, seraient à vos yeux éligibles d’être retransmis.]
Brillantissime article, très fort notamment par son accessibilité (sa « pédagogie » dirait celui qui n’a pas compris que l’intelligence n’a pas d’égo). Nous devons évidemment y conclure, pour compléter l’encyclopédique démonstration, que le « complotisme » est plus explicitement à extraire de son nominalisme pour disparaître de lui-même : c’est, exactement à l’instar du « racisme » par lequel nous devons reprendre notre monde (par nos mots), un concept parfaitement vide qui n’a d’effet pratique que l’occultation, par l’inversion (accusatoire), des significations vives qu’il consigne.