On est littéralement k.o. debout, après la lecture de cette recension si riche, si poussée de l’ouvrage majeur d’Alain Soral, tant la joie est grande de constater que l’ampleur de sa réflexion est reconnue mais non moins explosive l’indignation de ne jamais en avoir lu un dixième de ce nîveau, par un grand intellectuel français : au lieu de cela, on n’a jamais cessé de le trainer dans la boue, et l’obliger à s’expatrier, sous la menace de le mettre tout simplement en prison, ce qui est un scandale, une honte.
Puissent ces persécutions, pour délit de penser, et de construire une oeuvre, ouvrir les yeux de quelques uns de nos compatriotes, sur l’état lamentable où en est arrivé notre pays, un pays où l’on pourchasse celui qui ose indiquer une voie, et ose aussi élever la voix, pour leur éviter la servitude.