Cette explosion à Beyrouth est à mettre en relation avec celle qui a eu lieu en France à l’usine AZF de Toulouse en 2001 peu de temps après les attentats du 11/09.
En l’occurrence, dans les deux cas précités, il ne s’agit probablement pas d’attentats mais d’une gestion calamiteuse voire criminelle, de produits chimiques hautement explosibles.