une oligarchie bancaire, financière, pharmaceutique, qui fait régner son pouvoir par la terreur policière, médiatique et judiciaire, et dont « Macron » est le nom en France mais qui peut s’écrire « Biden » aux États-Unis ou « Trudeau » au Canada.
Oui, cette description est quasi-parfaite (seul l’aspect totalitaire n’est pas présent).
Après, dire « et dont « Macron » est le nom en France », c’est tout à fait juste mais ce n’est pas suffisant. Parce que Macron passera et le régime restera. Il faut arriver à faire un travail de définition et de nomenclature permettant de nommer correctement le régime dont nous souffrons. Nous devons chercher et forger le néologisme qui correspondra bien à ce nouveau régime totalitaire et sera capable de s’imposer dans l’usage quotidien de la langue. C’est un travail qui ne demande aucun budget, seulement de la créativité et de l’intuition poétique.
Bien nommer le nouveau régime est un vrai enjeu. Ce régime est un pinochisme développé, systématisé en totalitarisme, un pinochisme intégral. Le développement de :
« Personnellement je préfère un dictateur libéral plutôt qu’un gouvernement démocratique manquant de libéralisme » (Friedrich Hayek, Entretien avec le quotidien chilien El Mercurio, 12 avril 1981)
en totalitarisme libéral.
Mais le mot « libéral » est un faux ami puisque nous savons bien qu’il ne dénote que la liberté des plus grosses entreprises d’exercer sans entrave leur prédation sur le monde. Peut-être régime plouto-totalitaire, globaliste-policier (glopol, glopoliste, glopolisme), hématoploutiste (la richesse et le sang versé de la répression), nomismahématiste (la monnaie et le sang versé de la répression), trapezahématiste (la banque et le sang versé de la répression)... Régime trapémique, trapémiste, trapémien, trapème... en anglais trapem, trapemism, trapemist, trapemic...