On survit dans 99,98 % des cas au fléau contre lequel le gouvernement prétend lutter, toutes classes d’âges confondues. 99,98 % sur l’ensemble de la planète.
En France, l’examen de la distribution montre que la moyenne et la médiane se situent à plus de 80 ans, la moyenne est à 81 ans, la médiane à 84 ans. Autrement dit la moyenne reflète assez bien la réalité car les deux valeurs sont proches. Pour mieux cerner les choses, si vous étiez un homme vous pouviez espérer vivre jusque 79 ans en 2015, et si vous étiez une femme jusque 85 ans à la même date. Et malgré l’apocalypse dont les médias nous rebattent les oreilles, en 2020 nous avons en moyenne vécu plus longtemps qu’en 2015... et même 2 ans de plus qu’en 2005 qui n’était pas l’époque des cavernes autant que l’on s’en souvienne.
3 morts sur 4 à cause de la covédie ont plus de 75 ans, plus de 9 morts sur 10 ont plus de 64 ans. Statistiquement l’unique mort sur les 10 qui reste a plus de 45 ans. Ceci sans tenir compte du qualitatif. Combien d’obèses parmi les morts parce qu’il ne faut pas « stigmatiser par grossophobie » ? De patates de canapés occupées à manger du gras, du sel et du sucre en s’assommant devant un téléviseur après avoir surconsommé des médicaments une vie durant ?
Il n’y a pas de raison logique de traiter toute une population avec un produit en phase d’expérimentation dont le fabricant refuse d’affirmer l’innocuité, puisqu’il n’endosse aucune responsabilité en cas de conséquences graves. Car il n’y a pas que de simples « effets indésirables » selon l’euphémisme propagandiste lorsque l’on injecte la substance dite « vaccinale » qui semble bien moins efficace qu’un vaccin DTP. Les seules justifications sont politiques, c’est-à-dire qu’elles concernent la conservation et l’exercice du pouvoir sur le corps social. Et peut-être financières, d’aucuns ont des intérêts communs avec l’industrie pharmaceutique.
La camarilla de voyous, de rapineurs et de foutriquets qui gouverne — si l’on ose dire — nous joue le grand numéro de l’union sacrée avec, dans le premier rôle, le Giflé, youtubeur à ses heures, grand bradeur du patrimoine commun des Français, perdu dans un costume de maréchal d’opérette occupé à lutiner sa maman. Les sous-fifres, associés des malfaiteurs précédemment cités, qui œuvrent pour la désinformation sous le contrôle des oligarques ne valent pas mieux.
Toute cette farce, c’est la grippe H1N1, mieux racontée et mieux utilisée par des détritus qui se croient « élite ».