Le chemin du guerrier
La guerre en Afghanistan n’a pas plus de rapport avec la démocratie, les femmes ou n’importe quoi d’autre que le passe sanitaire n’a de rapport avec la santé. Les deux sont des méthodes de mafieux pour blanchir de l’argent. Dans le cas de la pègre, c’est l’argent sale, pour les gouvernements c’est l’argent fictif qu’il faut matérialiser. Pour l’économie de guerre, le circuit est : dette, achat d’armes, rétro commissions. Pour la gestion de la pharmacie, c’est pareil : dette, achat de vaccins, rétro commissions. La troisième pompe à fric est l’agroalimentaire : dette, chimie, captation du vivant.
Tout cela se rembourse en heures de vie d’esclaves.
Si les gens comprenaient que chaque balle, ou chaque vaccin, correspond à une ponction dans leur temps de vie sur terre, ils seraient peut-être plus attentifs. A croire qu’ils ont du temps à revendre !
Ceci amène à « la vie pauvre » du combattant afghan, ou du résistant français moderne, sans pour le moment faire de comparaison, car pour passer vingt ans dans des grottes en mangeant des racines il faut une certaine force de caractère.
Mais le principe est le même : le retour à l’essentiel pour :
Ne plus perdre son temps.
Ne plus contribuer aux jeux des finances du système.
Ne plus concourir à la dégradation de la nature en réduisant les activités nocives.
Se retrouver enfin seul, face à soi, pour commencer à travailler sur le sens de son existence.
René Guénon et Julius Evola se sont toujours opposés sur la primauté de l’ « action » et de la « spiritualité ». Le chemin du guerrier, c’est la réconciliation des deux, et ces penseurs savaient finalement, au-delà des points de vue, et des affinités personnelles, que cette voie forme un tout.
Le combattant taliban est un exemple, pas par ses points de vue et ses choix sur l’organisation du monde, mais parce qu’il a résisté, encore et encore, dans une bataille cathartique contre les forces diaboliques qui poussent à abandonner.
La société occidentale n’a plus rien à proposer pour le groupe, tout n’est qu’ignominie et faiblesse morale. Sans l’aide de la partie collabo de la police, sans l’idée entretenue de leur force, les parasites corrompus ne tiendraient pas trois jours et peut-être même pas trois heures.
Le serpent idéologique n’a plus d’espace pour s’étendre, il commence à se mordre hystériquement la queue. Comme en Afghanistan, si nous pouvons tenir, nous avons déjà gagné.
Libre selon l’esprit