La psychiatrie au secours des vaccinalistes !
5 octobre 2021 17:49, par PoiuInterview du Pr. dans le dernier "Alternatif bien-être" :
ABE : Vous mentionnez le chiffre de 350 000 décès aux États-Unis en 2020. Certaines théories dites « complotistes » affirment que la Covid-19 ne serait en réalité responsable que de 6% des décès comptabilisés ?
M. d. L. : Si l’on pose l’hypothèse que les 350000 personnes prétendument décédées de la Covid-19 seraient mortes en réalité d’une autre pathologie - une maladie cardiovasculaire par exemple -, on devrait alors assister à une diminution d’un autre type de maladie - les maladies cardiovasculaires par exemple. Or, il n’y a pas eu de « vase communiquant » entre les différents types de maladies, mais
bien une hausse incontestable de la mortalité toutes causes confondues. Le nombre de décès attribués à la Covid-19 n’a donc pas été surévalué. Je pense même qu’il a été sous-évalué. En effet, en 2020, les statisticiens ont comptabilisé davantage de maladies cardiovasculaires que les années précédentes. J’en viens donc à me demander si certains infarctus n’auraient pas été causés par ce virus ?
ABE :
Comment Pfizer, Moderna et AstraZeneca ont-ils procédé pour mener leurs essais ?
M. d. L. : Prenons l’exemple de Pfizer. Ce laboratoire a procédé à un essai randomisé sans respecter le double aveugle. Les soignants savaient donc quel groupe bénéficiait du traitement et quel groupe recevait le placebo, ce qui constitue un premier biais. Par ailleurs, les patients ont vite compris à quel groupe ils appartenaient, car le « vrai » traitement était décongelé et opaque alors que le placebo était transparent et non congelé ! Ça, c’est un biais massif !
(...)
les aberrations ne s’arrêtent malheureusement pas là. Pfizer a recruté des dizaines de milliers de volontaires qui, selon le protocole, auraient dû être suivis durant deux ans. L’essai a finalement été arrêté au bout de quelques semaines, sans aucune explication permettant de justifier cette défaillance méthodologique. On est donc en droit de penser que cela a été fait exprès. La méthodologie scientifique utilisée par Pfizer ne permet donc pas de conclure à l’efficacité du vaccin. Le plus fascinant dans cette histoire, c’est que personne n’a dénoncé cette situation ! Les biais crèvent les yeux et pourtant les résultats ont été publiés dans les plus prestigieuses revues de médecine à comité de lecture (NEJM, The Lancet…). Les quelques fois où j’ai essayé de le dire, j’ai été immédiatement censuré.