Généalogie d’un fascisme et Mur de la Honte
10 octobre 2021 20:38, par Le Goy
@Felix Niesche
À cette époque, j’étais un rebelle énervé, j’accumulais les bagarres et les larcins en tous genres... Pour moi, la politique c’était un truc du showbiz, de la merde en barre qu’on ingurgite avec une bibine et un joint.
Puis est arrivé l’événement. Quand je voyais tous ces abrutis chialer, M. Le Pen immédiatement apparu sympathique. Au fur et à mesure, la politique s’est immiscée dans ma vie. Je compris rapidement que j’étais entouré de gens de merde et j’ai été banni et ostracisé bien avant le fameux pass des covidés. Avec le recul, c’est une bonne chose,car je peux supporter cette situation avec entrain et bonne humeur, ce qui fait rager les covidés a gueules de déterrés. Donc oui, je suis entièrement d’accord avec vous : ce phénotype n’est pas né de la dernière pandémie.
J’en profite aussi pour vous remercier pour vos excellents ouvrages. Il est rare que je puisse relire une œuvre plusieurs fois en ayant le sentiment de le redécouvrir à chaque fois. Votre pièce sur l’enfer de Juan est tout simplement excellentissime. J’aurais tellement aimé voir une interprétation théâtrale de cet ouvrage, mais dans le contexte actuel, il faudra surement attendre, à moins d’en faire une traduction en russe...