Un point sur la situation politique au Québec
8 octobre 2021 14:48, par MivilleLa dictature mondialiste a pu s’imposer si facilement au Québec parce que la presque totalité du mouvement nationaliste et séparatiste de naguère qui a fait rêver à un Québec souverain a en fait vendu sous cette étiquette et sous ce drapeau un rêve 100% conçu dans les laboratoires de l’institut Rockefeller, et les caractéristiques culturelles auxquelles les nationalistes étaient tenus de s’identifier comme à la prunelle de leurs yeux étaient déjà les valeurs woke : la vraie case départ de la cause nationaliste québécoise fut Woodstock, qui est une localité plus proche de Montréal que Québec.
Le séparatisme québécois n’exista pas sans d’abord une conversion du petit jeune à la musique pop-rock et à la littérature new age : c’était une sous-branche du rêve californien. L’immense majorité des militants politiques de la cause patriote furent soit des homosexuels militants, souvent avec de forts penchants pédophiles (Bourgault), soit des féministes enragées au suprême degré, désireuses de faire du Québec souverain une future base de lutte contre le mâle blanc à l’échelle continentale.
Toutes les chansons dites nationalistes chantaient en réalité le Nouvel Ordre Mondial dont le Québec devait être un avant-modèle de pays post-moderne, post-chrétien et post-occidental. Disons en résumé que le Parti Québécois a défendu la cause nationale face à l’impérialisme anglo-sioniste exactement comme le PS français a défendu la cause ouvrière face au capital euro-sioniste. Ce qui était reproché au Canada anglais c’était de rester plein de morgue victorienne protestante raciste blanche vis à vis la nouvelle identité québécoise résolument anti-chrétienne en costume hippie imité de l’Inde.
Maintenant que le Canada anglais de Trudeau fils a adopté toutes les valeurs de haine anti-blanc anti-cis-genre et anti-mâle que le Québec avaient fait siennes, l’identité Québec n’a plus lieu d’être, d’où le recul de sa cause.
Il est à noter que la figure la plus emblématique du Québec nationaliste modéré, René Lévesque, était un adepte particulièrement fanatisé du métissage, qui fit tout pour favoriser l’immigration noire francophone et subventionner les couples mixtes : il faut dire qu’environ un francophone sur deux est un être plus ou moins métissé d’amérindien et qui peu importe qu’il le fût réellement ou non a été historiquement vilipendé par l’anglophone dominant en tant que bâtard pas vraiment blanc, ce qui en a converti plus d’un aux valeurs dites woke.