Les étudiants anti-woke se sentent marginalisés à l’université
9 octobre 2021 22:16, par Sedetiam
Comme c’est un quintal de compétition qui se trouve drapé dans sa peau de mâle blanc, vienne le premier woke pour m’enquiller un peu trop fort, que je le rendors.
Plus loin, comme l’ère Covid a engendré nombre de sobriquets comme complotiste ou anti-ceci ou cela, lors de conversations informelles j’ai averti le groupe B que j’avais prévenu le groupe A que le premier qui m’insultait au regard d’une hypothèse émise par ma pomme, sans avoir lui-même étudié le sujet, offrant l’attaque ad personam en lieu et place de toute analyse logique, je le mettais minable (sans préciser le sens) : ce qui fut répété au groupe C et ainsi de suite au gré de la transitivité ; « c’est du brutal », mais au moins les rodomontades se sont estompées dans le silence craintif : que les uns et les autres n’en pensent pas moins, je m’en cogne, dès lors que seul siffle le vent à mes oreilles.
Ah, je suis remonté comme une pendule et je file l’heure à cinq aiguilles lorsqu’il suffit !
Ava basta.