1974 – Adieu, village de Bercy
3 novembre 2021 20:37, par mulita56Une atmosphère que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître. Cependant ce qui devrait sauter aux yeux de tous ce sont les petites étoiles qui brillent dans les yeux de chacun de ces témoins d’un temps révolu. L’amour de son métier si ingrat soit-il (le menuisier tonnelier), le maître de chai, pour ne parler que d’eux saute aux yeux. Je ne pense pas qu’ils aient pu ressentir durement les effets d’une économie dont la finance est la pierre angulaire.(contexte d’entre deux et après guerres. )Hormis l’acte sacrificiel de la destruction de ce quartier. le leurs.la violence envers ces hommes a été l’après Bercy. Oui leur activité professionnelle avait du sens. N’est pas ce que le salarié d’aujourd’hui recherche. Oui c’était surement des métiers durs, avec peu d’hygiène, quoique ... Notre actuelle société hygiéniste on voit ce que cela donne ... et que dire de la dimension humaine -partage des rillettes et d’un bon vin sur un tonneau-, la fraternité. Quel gauchiste voudrait d’un patron comme celui du reportage. Quel gaulois voudrait travailler avec lui ?La vie n’y était surement pas rose mais elle était loin de l’enfer que vivent les salariés du secondaire et du tertiaire en 2021. Perte de sens et de reconnaissance, dépressions, maladies musculo-sovietiques, Euh squelettiques et j’en passe. J’aime bien ces archives de l’ina. A minima pour y constater la dégringolade vertigineuse de notre pays mais surtout pour un rappel la richesse culturelle et intellectuelle de la France qui est loin d’être abattue et il n"y a qu’à regarder du coté de EGALITE ET RECONCILIATION