Quand l’État français organise un attentat à des fins électorales
19 novembre 2021 12:01, par FT
« Je lui donnais petit à petit des enveloppes de liquide, il signait des reçus... »
Ca faisait longtemps que j’avais pas autant ris, c’est comme dire je travaille au noir mais j’émets des factures, ce niveau de connerie intersidérale.
« une fois qu’il avait signé, il ne pouvait plus faire marche arrière. » Faux, on peut toujours prendre ses responsabilités et agir en homme ou femme digne de ce nom, exemple : le juge Pierre Roche, et lui c’était d’un tout autre niveau.