Je ne crois pas au soulèvement des peuples quand ils sont envoûtés. Seul peut défaire un envoûtement un dictateur imposant au peuple un immense effort à faire contre son gré. Dans l’état où il est le peuple de France va obéir soit à Macron à 66,6% (l’alliance du loup et du renard contre l’agneau à savoir quel sera le menu au méchoui, ou autrement dit des méchants dans l’âme prêts à mourir pour écraser du pauvre, et des petits malins qui veulent tirer leur épingle du jeu en toute circonstance) soit à Zemmour à 51,1% (guerre civile garantie), soit moitié-moitié (cohabitation Macron à l’Élysée Zemmour à Matignon avec Attali à la tête du Conseil Constitutionnel pour faire la part des deux).
La seule solution est militaire non plus politique et comme il n’y a pas plus de Bigeard à l’horizon dans l’armée française non plus que de Franco ou de Papadopoulos, le dictateur ne peut être qu’islamique et à la tête d’une armée d’invasion. Plutôt Erdogan ou Assad que Bergoglio, encore qu’il soit maintenant question que Seif el Islam Qaddhafi reprenne la Libye auquel cas l’écrasement militaire de la France est un priorité vitale. Il était déjà dans les cartons de Mahomet II le conquérant de Constantinople que Paris serait la grande étape suivante pour le monde musulman en expansion : la ville porterait alors le nom d’Aqsa el Fariza.
Quand Mahomet II conquit Constantinople les jihadistes massacrèrent des clercs perdus en discussion sur le sexe des anges : devant tant de barbarie Mahomet II fit décapiter ces égorgeurs à leur tour. Quand Mahomet III conquerra Paris les jihadistes s’étant emparé du Fouquets et du Flore entendront jacter des pontes perdus en grande discussion sur le sexe des enfants et les égorgeront tous à la scie tronçonneuse. Ils seront décorés, notamment pour avoir refusé les pots de vin qui leur auront été offerts par toute cette élite de très haut vol ainsi que des enfants à baiser mis à leur disposition par la Mosquée de Paris : cette dernière ne sera pas brûlée mais classée synagogue et mise sous surveillance. Notre-Dame devenu lieu touristique retrouvera sa vocation religieuse une fois que les architectes auront convenu que l’ogive centrale trop fragile aura besoin d’être flanquée de quatre minarets aux angles.