L’Iran, la bombe, la Russie, le gaz, Israël et le reste du monde
11 mars 2022 02:38, par SedetiamLui, il a lu Sun Tzu, un wok dans le fion, croyant qu’il serait éveillé : oh, c’est woke, pas wok, crétin : oui, crétin, lis ça :
« Notre stratégie, c’est faire monter le coût de la guerre pour Poutine », indique Gabriel Attal
D’abord, le gars t’a mis tes réserves de gaz en drapeau et tiens désormais la main sur les deux robinets : l’Américain à la Maison Blanche, et celui de ton Nord Stream 1.
Mais, Poupou, comme d’habitude, c’est le numéro deux mondial : sauf que le maillot jaune cette année, a son fils drogué dans le collimateur des contrôleurs russes qui sont même tombés sur d’autres labos ukrainiens contenant de potentielles armes de contamination massive : et les plans des chiottes pour aller chercher les gugusses jusque dans leur fond. Donc même le slip est jaune... pour les premiers de la classe, dopés à l’arrogance.
Par dessus le marché, le gaillard dispose dans son sous-sol de toutes les matières premières et peut bouffer du pain et même en donner à ceux qui n’en ont pas, amen, jusqu’à plus faim.
Le PIB français c’est 2.6M de dollars/an
Le PIB russe c’est 1.5M de dollars/an, mais en terme de (PIB PPA) parité de pouvoir d’achat, les Russes se classaient trois ou quatre places devant la France depuis les années 2010 et ceci prévu jusqu’en 2030 au moins, selon le FMI. (Le FMI n’avait pas prévu que la France et l’Europe allait se prendre une double olive du fait de cette situation... L’Hexagone et ses satellites peut même rétrograder, donc.
Sans parler que les Russes dépensent énormément en espèces, en euros ou dollars, une forme de marché au gris (tandis que leur monnaie est sous-évaluée par le marché de presque 70% selon l’indice Big Mac), ce qui fait que l’on peut même considérer leur PIB réel, au moins équivalent à celui de la France si ce n’est plus, si tant est que nous puissions considérer cette économie comme parallèle, donc double.
Plus loin, depuis le début de l’opération de police régionale et la flambée du prix du baril, chaque jour qui passe, c’est 800 barres de rentrées quotidiennes supplémentaires pour la Russie, grâce au pétrole plein tube (idem pour les Ricains, Le Vénézuéla, la Norvège, etc, du reste) : tu le trouves où le pétrole (et le gaz), ô toi, le Sciences Pipo ?