La pédocriminalité contemporaine, de Polanski à Epstein
8 avril 2022 11:55, par SevOn rappelera à l’attention de Annick Billou (de l’UDI) que "s’il peut y avoir des enfants qui sont consentant.." c’est à l’évidence parce que ces enfants "consentant" ont été tout bonnement dressés à intégrer la pédopornographie comme l’une des nouvelles normalités de notre modernité en putréfaction. Mais demander ce genre de réflexion à une femme comme Billou, c’est s’assurer d’une mauvaise foi patente, à défaut d’une bêtise notoire.
On rappelera également en passant que l’Onfray a écrit sur Sade dans "la passion de la méchanceté" en 2014... il avait certainement lu, avant, "La Cité Perverse" de Dany-Robert Dufour qui fit une analyse remarquable du sadisme moderne occidental dès 2012.
On citera également Isabelle Sorrente, esprit assez brillant, qui publia un certain nombre d’œuvres (pièces de théâtre, puis romans et essais) sur le glissement notoire des sociétés techno-modernes vers la fabrique de l’individu pervers.
La caractéristique du pervers est son narcissisme écartant de facto autrui de toute considération, hormis d’en faire un instrument au service de ses intérêts propres. La manipulation est la particularité de notre 21ème siècle qui émerge dans la queue de comète d’un "ancien monde" dont la modernité fut bâtie de toute pièce par une idéologie que l’occident appelle les Lumières.
Ces "lumières" ont malheureusement essaimé au EU où toute nouvelle idéologie devient une arme qui se retourne vers ses propres inventeurs. L’esprit méthodique et archi rationaliste des "lmumières", s’il était indéniablement intéressant par certains aspects, n’en est pas moins devenu une véritable caricature dévastatrice de toute imagination et créativité humaines. Hors de la méthode, des stats, du calcul et de la logique rationnelle, point d’avenir ni de salut.
La déviance est bel et bien devenue la nouvelle norme. L’un des derniers entretien du petit Zemmour façe à un (une ?) transgenre qui l’interroge sur son "intolérance" au LGBTisme, confirme bien que le Normal est sciemment combattu partout en Occident au nom de la jouissance intégral de l’Individu tout puissant exigeant de facto que ses délires soient reconnus comme... normaux.
Au milieu du fer et du sang du conflit Russe-Ukraine, pulse une autre guerre : celle menée par la Russie orthodoxe qui ne veut pas du LGBTisme ni du communautarisme minoritaire tyrannique lesquels se sont répandus en Ukraine. Zelenski en est l’un des représentants les plus écœurant.