Les femmes trans sont des hommes et prétendre le contraire est une folie culturelle
14 avril 2022 05:13, par RKrishnaComme aime à le répéter Stéphane Edouard : se tromper sur les causes, c’est se condamner à tourner en rond ... à peu de chose près !
En effet, le débat sociétal n’est que l’émergence en bout de chaines d’un processus qui a débuté dans des sphères très spécialisées qu’à une autre époque certains n’auraient pas hésité à qualifier d’ « occulte ».
Les biologistes d’hier, aujourd’hui devenus biotechniciens n’ont réellement que faire de « limitations » telles que le genre. Pour eux, les avancées dans l’analyse du génome, et les quelques exemples d’animaux qui changent de sexe au cours de leur existence, justifient pour certains d’aller dans le sens d’une théorie telle que la « déconstruction ». Et même s’ils n’iront pas tous dans ce sens, ils n’en pensent pas moins. Il est beaucoup trop tentant de jouer avec la plasticité du vivant : de composer, et recomposer selon ses désirs ou sa propre vision du monde.
C’est bien connu : le poisson pourrit par la tête, et c’est bien dans le domaine très pointu de la biotechnologie qu’il faut trouver l’origine du développement de l’ « éthique » à la mode et, en bout de chaines, des débats sociétaux égalitaristes.
Un seul exemple suffira à mieux me faire comprendre : Peter Singer, oui, le mec qui propose de permettre d’avorter 28 jours après la naissance d’un enfant ou de mettre en prison à vie une personne qui frapperait un animal, Peter Singer, disais-je, n’est pas un simple militant boutonneux dernier un clavier ; c’est le professeur de philosophie et de bioéthique à l’Université de Princeton, et son propre cas n’est que la partie émergée d’un délire autrement plus dangereux qui conduit par exemple un Laurent Alexandre à dire à de jeunes ingénieurs qu’ils sont des dieux.
Lutter contre le discours délirant d’une telle propagande politique, c’est lutter contre des moulins à vents, si en même temps, on ne travaille pas à remettre de l’ordre dans les prestigieuses universités et dans la tête de jeune gens qui sont encouragés à croire qu’ils peuvent faire ce qu’on bon leur semble avec le vivant.