Un ami Belge me disait que la Belgique est une expérience sociale, qui sera appliquée à la France. La Belgique est une expérience sociale depuis sa création en 1830 pour restreindre le rôle de la France, depuis sa défaite à Waterloo.
La Belgique est une métonymie et une anticipation de la France.
Il faut avoir lu Léon Degrelle, La Cohue de 1940 pour comprendre les partis politiques dans le pays. Il est fort à parier que le châtiment exemplaire infligé à ce petit pays, est en partie dû au succès de l’homme de Bouillon ; comme Godefroy de Bouillon, d’éradiquer toute trace de grandeur. Dans ce livre, Degrelle montre comment après l’arrivée de l’Allemagne, durant quelques semaines tous les parlementaires hostiles venaient se prosterner devant lui, le grand ennemi.
Plus jamais ça.
Après c’est le tour de la France, le flot d’immigrés ne doit jamais se tarir, surtout des africains, dans le suicide démographiques blancs qui continuent par son travail de subventionner les arrivées et naissances africaines.
Vous n’avez pas voulu de Degrelle et de Le Pen, vous aurez l’invasion. C’est un libre choix. C’est pas la faute des Snorki ni de Mouloud.
De l’Atomium à Marc Dutroux qui sera bientôt libre après avoir purgé sa dure peine, la Belgique est bien une expérience sociale et une anticipation de la France.