"Un des pires pamphlets misogynes de l’histoire" : les femmes selon Schopenhauer
9 juin 2022 10:32, par la base humainePourtant, on nait d’une femme et d’un homme. On hérite des deux, et transformer la femme en créature soumise n’est pas dans l’intérêt darwinien, eugéniste. Il faut au contraire privilégier les femmes qui vont de l’avant, sinon elle accoucheront d’hommes plus soumis et moins libres.
Ceux sont les sociétés monogames qui produisent le plus de grands hommes, de par cette évolution naturelle ; à l’inverse, les sociétés polygames comme les sémites ou les arabes ne sont pas connus pour leur amour de la liberté, leur volonté d’aller de l’avant vers l’inconnu ou ce genre de choses. C’est normal parce que c’est plus ou moins inné.
La société n’est qu’un cercle familial élargie et refroidi, donc si la mère est soumise, n’attends pas que ses fils soient des conquérants nobles et pieux, ce seront des barbares cupides et dégénérés dans le meilleur des cas.
Ca me semble plus que logique, presque bête tellement c’est simple. N’oubliez pas que le monde n’est qu’un, que tout se tient, y compris Schopenhauer et sa propre mère ou sa propre femme.
Si l’occident s’est élevé au pinacle du monde durant près de trois siècles (on schématise de 1700 à 2000), ce n’est pas simplement grâce à ses ressources naturelles, ni à son sens de la guerre ou du commerce, c’est aussi grâce à une organisation sociale bien rôdée qui encourage l’individu à se dépasser, à se battre pour mériter, sans être étouffé par les autres. Une forme de concurrence, certes, mais de concurrence saine et relativement garantie (par des choses comme la monogamie dont nous parlons, mais pas seulement, la fameuse "méritocratie" vient de là).
Bref, pas besoin d’être philosophe pour comprendre ça, juste à regarder la nature et les règles mathématiques les plus élémentaires (ce que le Prussien n’avait peut-être pas, fallait moins pioncer en sciences, plus écouter en histoire, et arrêter deux secondes la philosophie de branleur).