Soral répond... sur ERFM ! – Trente-quatrième fournée !
19 juillet 2022 08:52, par anonymeCher M. Soral, j’aimerais revenir sur votre commentaire ci-dessus (Calme-toi bonhomme !). Certes, comme la misère et la mort, l’avortement a toujours existé. Le viol aussi. L’assassinat aussi. Mais ce n’est pas pour ça que la société doit gérer l’ivg de façon morale et raisonnable. Elle doit l’interdire par le droit, et la loi doit le réprimer et le punir, comme le viol, comme l’assassinat.
Car il existe des solutions, et une excellente qui a fait ses preuves, sous Vichy, eh oui, il s’agit des "Maisons maternelles". La première fut ouverte en mai 1944 à Clermont-Ferrand à l’initiative du ministre de la Santé publique, le docteur Grasset. Reynouard en parle très bien. En gros, ça fonctionnait comme la Légion : l’incognito le plus complet pouvait être gardé par la future mère. Entendez qu’aucune question ne lui est posée dès qu’elle a franchi le seuil de la maison. Elle peut donner un nom qui n’est point le sien ; raconter une histoire qui n’est point la sienne. Elle peut n’avoir point de religion. Il lui suffit d’être là, d’être dans la peine et d’avoir besoin d’aide. On s’occupait d’elle, de son accouchement et de son bébé, et la seule condition, c’était qu’elle l’allaite et s’en occupe pendant 6 mois. Après, elle pouvait l’abandonner, à l’assistance publique. Eh bien, alors qu’elles n’étaient seulement que 20 % à dire vouloir garder leur petit à l’entrée dans la maison, elles étaient 80 % à le garder effectivement après les six mois. J’en termine en citant Reynouard : "Voilà comment, sous l’Occupation, on sauvait des petits enfants Blancs. Hélas, la "Libération" est venue. Voilà pourquoi je répète : Français, qui vous libérera de vos libérateurs ?"