Qu’est-ce qu’ils fichaient sur ces « plateformes d’échanges », qui de notoriété publique n’en sont pas ? Valider de sa présence les manigances subtiles de ces sociétés privés mi-agence de renseignement mi-commerce d’influence d’opinion publique, c’est politiquement naïf et ça se paie cher.
Rendez-vous ailleurs.