Pour l’AFP Factuel, les climatosceptiques se trompent puisque le GIEC a raison
10 septembre 2022 18:12, par SedetiamUne connaissance, qui n’en a rien à foutre du climat, des bestioles, des arbres, de la flotte et de toutes ces conneries selon son nombril par lequel il voit, m’entretenait un matin où je touillait mon café, sur le réchauffement climatique, tel que, mué en perroquet, il me récitait l’émission de BFM TV devant laquelle son QI à deux chiffres avait dû s’endormir, exténué d’avoir à suivre.
Je contre-argumente en vain lorsqu’un sauveur m’en débarrasse : se présente le voisin de table, climatologue, physicien et chercheur britannique qui s’immisce dans la conversation avec le flegme et l’humour que nous leur connaissons ; et mon porte-drapeau de BFM TV et consors, de fuir sous le prétexte qu’il ne parle pas anglais.
Ce qui est ballot, lui dit-on, puisque toutes les publications scientifiques se font en anglais...
C’est ainsi que l’on se trouve content de prendre une leçon complémentaire sur un sujet que l’on pensait avoir saisi sous le prisme contradictoire de l’injonction mainstream.
Par contre, pour revenir au français, (et surtout en terme de recherche scientifique), profitons pour dire que le « consensus » c’est admettre que nous ne sommes pas d’accord, mais qu’il convient de poser une base fondatrice au travail (par des axiomes, des idiomes et/ou autres postulats) de sorte que chacun dans son coin puisse faire la démonstration de son ou ses hypothèses. Où si et seulement si demeure la/les conditions de la théorie tant que l’on n’a pas démontré son contraire, ou son inexactitude au regard d’autres contextes nouveaux.