Le général Vincent Breton : "Une des leçons de ce conflit est l’importance de la dissuasion nucléaire"
26 septembre 2022 10:25, par jo
En pleine régression et récession, avec la guerre à 1000 km de nos frontières, et entre les griffes des forces toxiques de délitement, l’avenir est sombre. En dernière instance, l’on habitera encore le même corps, mais de moins en moins bien alimenté et abrité des éléments, qui sera potentiellement sur la trajectoire des projectiles plus ou moins destructeurs qui vont en sifflant prendre possession de l’air. Les plus gros impacts laisseront des cratères dans un sol ravagé, les plus ténus, des cadavres disloqués et tous des ruines. L’on continuera à combler les interstices béants de la raison avec le genre d’absurdités qui hantent les cauchemars. Ceux qui auront provoqué le désastre se seront enfuis en laissant leurs victimes assumer leurs délires et leurs malfaisances. La catastrophe fera naître les stéréotypes habituels, qui lanceront leurs mots par dessus la tête des foules. A jamais incapable de se taire l’on parlera héroïsme, trahison, sacrifice, alliance, offensive et repli, massacre, bataille...etc...etc...etc...l’attirail du vocabulaire standard des cerveaux malades. C’est dramatique d’être tyrannisé par des cons...