L’affaire Hanouna/Boyard acte le basculement du pouvoir du politique au médiatique
17 novembre 2022 16:35, par Gilles F.
Dès que BHL l’ouvre, on comprend pourquoi il s’est pris autant de tartes dans la gueule. Et on se met à regretter que l’assiette n’était pas en marbre, comme dans le film « mon nom est personne », ce serait ça la beauté du jeu. S’indigner du meurtre d’Halimi, alors qu’il fait partie de ceux qui ont ouvert les bras à tous les « Fofana » qui se baladent dans nos rues… Grand con !