Le problème avec cette voie de sainteté dans laquelle Dieudonné semble s’engouffrer n’est pas facile. Il ne suffit pas de quelques mots, cette voie sacerdotale necessite le don total de soi et... de son argent. Se dépouiller de ce monde et garder seulement la Foi, la foi que tout va bien se passer même jusqu’à et dans la mort. Quelques uns ont déjà pris ce sentier : la plupart sont appelés Saint.
Ici, pour notre humouriste favori, je pense qu’il s est simplement laissé aller (ou trompé ?) à son bon coeur dans un moment de faiblesse et de mélancolie.
Certainement un sentiment de culpabilité d’avoir entrainé ses enfants sur le chemin de la vérité, cette vérité qui impose, nous le savons, un combat à mort contre la Bête...