La réalité rejoint la fiction, ou plutôt, la fiction s’inspire de la réalité même si elle n’est pas encore acceptée par la majorité, mais je suppose que beaucoup ont vu le film de Paul Greengrass : le Jason Bourne de 2016 dont voici un extrait du résumé :
"Dewey le directeur de la CIA se rend congrès technologique de Las Vegas, pour participer à un débat sur le droit à la vie privée avec Aaron Kalloor, PDG de Deep Dream, société qui exploite un réseau social consulté par plus d’un milliard de personnes. Kalloor se présente comme le champion de la protection de la vie privée, mais tait sa collaboration secrète avec la CIA, qui ambitionne d’utiliser le réseau de Deep Dream comme outil de surveillance de masse en temps réel, pour redonner vigueur aux opérations Treadstone, Blackbriar, Outcome et LARX."
Rien ne se perd, utiliser une histoire vrai qui sera considéré comme une thèse complotisme par les média aux ordres pour élaborer un scénario de fiction original, c’est raconter la même histoire sans les emmerdes et en empochant les tunes. Bonne opération. Le film est passé hier à la TV en plus.